Il y a moins de 3 mois, quand j’avais parlé de la passion malsaine des vedettes du cinéma pour nous faire manger des insectes, j’avais créé un tollé parmi vous, chers lecteurs. La raison ? Je vous exhortais à faire provisions de nutriments. Je vous disais : « c’est maintenant ou jamais »… Et depuis, en quelques semaines, le ciel s’est beaucoup assombri. Si nous ne sommes pas rentrés dans une 3e guerre mondiale, l’économie en Europe devient de plus en plus une économie de guerre. N’oublions pas que les Allemands, qui manquaient de beaucoup de ressources pendant les deux guerres mondiales, avaient systématiquement conçu des denrées de rechange, des succédanés. On appelait ça des ersatz. En 1914-1918, il y en avait eu pour la nourriture ; en 1939-1945, il y en avait eu pour les caoutchouc et le pétrole. Curieusement, on entend moins ce mot d’ersatz, maintenant. On ne l’apprend même plus à l’école. Pourtant, c’est exactement la nature de la farine de grillons : des ersatz de nourriture, mais pour un monde indéfiniment « durable ». Le problème est que la guerre a exactement l’effet que lui prête George Orwell dans 1984 : abaisser la quantité et la qualité des denrées alimentaires. Il est possible que demain, dans votre supermarché, il n’y ait plus que de la farine de grillons à manger. Il suffirait que le gouvernement fixe un coût bas pour la viande, et toute la production, devenue non-rentable, ne serait plus vendue qu’au marché noir. ll en irait de même pour la plupart des denrées nécessaires à la bonne cuisine. J’aimerais vous dire que cela n’arrivera pas, que c’est trop absurde. Mais qu’y a-t-il de plus absurde que de retrouver des grillons broyés dans votre pain, avec leurs excréments ? Donc, si demain vous ne pouvez compter que sur des aliments très simples comme le riz ou les haricots (sans sauce), n’oubliez pas de vous complémenter pour rester en bonne santé. Pour ma part, je peux me porter garant des compléments de long terme. Pour un cocktail de vitamines cliquez ici ; pour la CoQ10, élément vital qu’on ne trouve que dans la viande, cliquez là ; ici pour la vitamine C et là pour la vitamine D.
Un homme avisé en vaut deux, un homme préparé en vaut trois. Portez-vous bien, Marc Turenne |